L’indifférence de Glouchko au décès de Korolev

Le décès aussi soudain qu’inattendu de Sergueï Korolev, n’a apparemment pas ému son ennemi juré Valentin Glouchko.

Le 14 janvier 1966, ce dernier préside une réunion, lorsque son téléphone branché sur la ligne du Kremlin sonne. Il prend connaissance de la nouvelle, raccroche, et annonce à l’assemblée : « Sergueï Pavlovich nous a quittés ».

Puis impassible il reprend : « Où en étions nous ? »