Apollo 13, il y a comme un os

L’odyssée des trois astronautes d’ Apollo 13, naufragés de l’espace, a tenu le monde en haleine.

Chaque jour, les journaux publient de nouveaux articles, même les plus loufoques.

Telle l’histoire de ce marabout, rapportée par l’agence de presse Reuters, un certain Silas Msgomezulu de Johannesbourg en Afrique du Sud (Il est fort probable qu’il y ait une erreur dans la retranscription du nom de famille et que ce ne soit pas Msgomezulu mais Mngomezulu, un patronyme très répandu en Afrique du Sud.), qui pratique, entre autres arts divinatoires, l’ostéomancie.

Ainsi en jetant ses osselets, ce docteur es occultisme a pu lire que les astronautes reviendront sain et sauf sur Terre, mais les os lui ont également révélé que ces hommes s’étaient immiscés dans les affaires de Dieu, qui les a renvoyé chez eux. Il s’agit là d’un avertissement, les américains ne doivent plus aller sur la Lune !

En définitive, ce marabout l’a « eu dans l’os », car les américains sont retournés sur la Lune à quatre reprises après l’accident d’ Apollo 13.

 

Arthur Rudolph ou liquide contre solide

Arthur Rudolph, le directeur du programme Saturn V au Centre Spatial Marshall, a travaillé toute sa carrière sur les fusées à ergols liquides plutôt que celles à propergol solide.

Après un colloque, où l‘un des intervenant à fait l’apologie des propulseurs à propergol solide, les participants sont conviés à un cocktail.

Avec un Martini à la main, Arthur Rudoph s’approche de la personne en question et lui dit : « Vous avez fait un discours très intéressant, mais je dois vous avouer que je suis de naissance un adepte des ergols liquides. Ceci », ajoute Rudolph, en montrant l’olive dans son verre, « représente le ratio de ma confiance dans le solide par rapport au liquide ! ».

Se sentant un peu mal après cette remarque acerbe, Arthur Rudolph se dirige vers le bar, ajoute quelques olives dans son verre et retourne voir la personne. « Mon ami, vous voyez que ma confiance dans le solide a augmenté, et plus je bois de ce liquide, plus ma confiance dans le solide grandit ! »

Neil Armstrong, juste un professeur ordinaire

En 1979, à l’occasion du dixième anniversaire de la mission Apollo 11, Neil Armstrong participe au tournage d’un documentaire sur Apollo par une télévision japonaise.

Lors d’une pause, le journaliste lui demande si ses étudiants en ingénierie aérospatiale à l’Université de Cincinnati sont en admiration devant lui.

La réponse de Neil Armstrong avec un petit sourire en coin : « Plus du tout après la première interro. »

Neil Armstrong dans sa classe. Crédit photo : Peggy Palange, UC Public Information Office – 1974.